8 juillet 2012

Liberté

Ô liberté me pardonneras-tu ma trahison ?
Toutes ces années enfermée dans la prison

De mon coeur meurtri et égaré
De mon âme errante et dépassée

Par le temps qui court, par le sens de la vie

Ô liberté si tu savais comme tu m'as manquée
Joies et peines avec toi intimement liée

Par ma faute je me suis retrouvée seule
Sans m'en rendre compte je suis devenue veule

Et j'ai fui si loin pour ne plus que tu puisses me trouver

Ô liberté, ma chère liberté !

Mon coeur explose de ton énergie retrouvée
Je te sens à nouveau mon âme envelopée

Ô liberté, ma chère liberté !

Comme deux soeurs plus jamais nous ne nous quitterons
Cette déchirure à failli me coûter la raison

Ô liberté, ma chère liberté.

Liberté ! Liberté ! Liberté !
Je ne me lasse plus de répéter ton nom
Ô chère liberté. 

Mélancolia

Je suis comme un prisonnier hagard. Je reviens d'exil pour me mêler à nouveau à l'histoire. Perdue sur cette île sur laquelle je me suis moi même envoyée. J'ai encore du mal à sentir le sol dur sous mes pieds.

Ancolie mélancolique. Je repense à ces sphynxs antiques. Immensité de pierre au milieu de l'immsentité du désert. Qui regardaient passer les siècles sans bouger d'un milimètre.

Sortie de ma torpeur. Suivi les élans de mon coeur. Je dois réapprendre à vivre.

Rien ne sera jamais plus comme avant. Sur les cendres de mon passé j'irai marchant. Comme un phénix redéployant ses ailes. Que ne pourrais-je retrouver mon côté libre et rebelle.